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Tabassé et brûlé avec un chalumeau à Paris : un jeune homme enlevé et séquestré dans son sous-sol, quatre mises en examen
Tabassé et brûlé avec un chalumeau à Paris : un jeune homme enlevé et séquestré dans son sous-sol, quatre mises en examen

Le Parisien

timea day ago

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  • Le Parisien

Tabassé et brûlé avec un chalumeau à Paris : un jeune homme enlevé et séquestré dans son sous-sol, quatre mises en examen

L'ancien complice d'un trafic de stupéfiants a-t-il subi les représailles de narcotrafiquants ? Fin juin, un jeune homme de 24 ans avait été enlevé en rentrant chez lui à Paris (XIXe). Ses agresseurs l'ont séquestré et torturé, a-t-on appris de source proche du dossier. Selon nos informations, quatre hommes, âgés de 23 à 28 ans, originaires du même quartier que la victime ont été interpellés, mis en examen pour enlèvement, vol avec violences en bande organisées, violences aggravées et extorsion avec arme. Dans la nuit du 28 au 29 juin dernier, la victime rentre chez elle lorsqu'elle est interceptée par plusieurs personnes. Le jeune homme est emmené de force dans le sous-sol de l'immeuble où il vit avec ses parents. À l'abri des regards, il est battu à coups de pied, de poing et brûlé avec une bonbonne de protoxyde d'azote, utilisée comme un chalumeau. Les ravisseurs lui réclament d'abord une importante somme d'argent. En vain. Le jeune homme est alors conduit dans son appartement et plusieurs objets sont volés, ainsi que 1 000 euros en liquide. En sortant, toujours avec la victime, son père, qui tentait de s'interposer, est violemment secoué. Le jeune homme rentre finalement chez lui quelques instants plus tard. Sa voiture a été volée. Blessée, la victime se verra attribuer 10 jours d'interruption temporaire de travail (ITT). En déposant plainte, le jeune homme explique que les enquêteurs devraient se pencher sur des connaissances de son quartier. L'année passée, raconte-t-il aux enquêteurs de la police judiciaire, il avait déjà été agressé par deux d'entre eux. Mais il avait finalement retiré la plainte et l'affaire avait été classée. S'il a été visé, estime la victime, c'est que dans le passé, il travaillait au sein d'un réseau de trafic de stupéfiants. En quelques jours, plusieurs suspects sont identifiés. L'un d'entre eux est déjà en détention provisoire depuis début juillet pour une affaire similaire. Ce détenu, ainsi que trois autres suspects, sont placés en garde à vue fin juillet. Tous gardent le silence face aux enquêteurs, l'un d'entre eux assurant avoir simplement été témoin de la scène. Ils ont tous été mis en examen et écroués.

Rennes : deux suspects écroués après le meurtre d'un jeune homme de 20 ans
Rennes : deux suspects écroués après le meurtre d'un jeune homme de 20 ans

Le Figaro

time5 days ago

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Rennes : deux suspects écroués après le meurtre d'un jeune homme de 20 ans

La victime blessée à l'abdomen par arme blanche avait été déposée en voiture par trois personnes au service des urgences de Rennes, où elle a succombé à ses blessures. Deux personnes mises en cause dans le meurtre d'un jeune homme de 20 ans, poignardé mortellement le 19 juillet à Rennes aux abords d'une station de métro, ont été mises en examen et écrouées, selon des informations transmises par le parquet. «L'hypothèse d'un règlement de comptes en lien direct avec le trafic de stupéfiants n'est pas privilégiée à ce stade de la procédure», souligne dans un communiqué le procureur de la République adjoint Matthieu Thomas. Publicité Le samedi 19 juillet vers 20 heures, la victime blessée à l'abdomen par arme blanche avait été déposée en voiture par trois personnes au service des urgences de Rennes, où elle a succombé à ses blessures. Les trois accompagnateurs de la victime, qui ne la connaissaient pas, ainsi que deux autres personnes qui s'étaient présentées peu après à l'hôpital pour prendre des nouvelles du blessé, avaient été placés en garde à vue pour des vérifications avant d'être mis hors de cause et libérés. Une semaine après cet homicide, «deux individus impliqués dans la scène du crime» ont été mis en examen, l'un pour meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs, l'autre pour complicité de meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs, indique le parquet de Rennes. Tous deux âgés de 20 ans, ils ont été placés en détention provisoire. Le premier mis en cause «admet être l'auteur du coup de couteau mortel porté à la victime dans un contexte d'altercations répétées entre eux, tandis que le second conteste avoir pris part à tout acte préparatoire de cette scène de crime», précise Matthieu Thomas.

« Si tu parles, on te tue » : après le meurtre d'un dentiste aux Lilas, le calvaire du suspect qui a brisé l'omerta
« Si tu parles, on te tue » : après le meurtre d'un dentiste aux Lilas, le calvaire du suspect qui a brisé l'omerta

Le Parisien

time6 days ago

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« Si tu parles, on te tue » : après le meurtre d'un dentiste aux Lilas, le calvaire du suspect qui a brisé l'omerta

Il est le seul à avoir voulu briser l'omerta après le drame qui a coûté la vie à Rayane Lemmouchi . Le 20 mai 2023, ce jeune chirurgien-dentiste de 25 ans, avait été frappé mortellement d'un coup de machette, aux Lilas (Seine-Saint-Denis). Simplement parce qu'il se trouvait sur la route d'une bande du Pré-Saint-Gervais venue en découdre avec quiconque aux Lilas, après une embrouille lors d'un anniversaire quelques heures plus tôt. Pris à partie puis touché à l'artère fémorale alors qu'il protégeait ses deux cousins, il n'avait pas survécu. Interpellé au lendemain du meurtre, Moussa (le prénom a été changé) , un mineur de 17 ans, est mis en examen pour « meurtre en bande organisée », placé sous contrôle judiciaire et confié à un foyer. Comme les 9 autres jeunes interpellés pendant l'enquête du SDPJ 93, il est originaire du quartier de la ZAC au Pré Saint-Gervais. Mais contrairement à eux, il s'est montré un peu plus disert devant les policiers lors de sa garde à vue. Ce qui lui a valu de gros soucis.

Nîmes : deux hommes mis en examen pour «tentative de meurtre» après la fusillade de Valdegour
Nîmes : deux hommes mis en examen pour «tentative de meurtre» après la fusillade de Valdegour

Le Figaro

time20-07-2025

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Nîmes : deux hommes mis en examen pour «tentative de meurtre» après la fusillade de Valdegour

Le 27 juin dernier, six personnes avaient été blessées par des tirs en rafale dans le quartier Valdegour à Nîmes. L'enquête sur les tirs survenus le 27 juin 2025 à Nîmes, dans le quartier Valdegour, a abouti sur l'interpellation et la mise en examen de deux individus notamment pour «tentative de meurtre en bande organisée», a fait savoir le parquet de Nîmes dans un communiqué publié ce dimanche. Ce soir-là, vers 18h55, la police avait été alertée de tirs en rafale place Avogadro. Plusieurs victimes, âgées de 15 à 20 ans, semblaient étrangères à tout règlement de comptes sur fond de trafic de stupéfiants. Six blessés avaient pu être pris en charge immédiatement, grâce, notamment, à l'intervention d'un pompier infirmier hors service avant l'arrivée des équipes. Publicité Si aujourd'hui, les victimes sont toutes sorties d'affaire, l'une d'entre elles, un jeune homme blessé par balle au thorax, avait vu son pronostic vital engagé. Il a aujourd'hui une incapacité totale de travail (ITT) de 90 jours. Deux autres personnes, blessées au bassin pour la première et atteinte par des éclats pour la deuxième, avaient également été dans un état critique et présente 60 jours d'ITT. Au moins un tireur Une enquête de flagrance a été ouverte dans la foulée des événements pour «tentative de meurtre en bande organisée, détention d'arme en réunion, participation à une association de malfaiteurs et détérioration par moyen dangereux pour les personnes». Les premiers éléments recueillis font état de la présence d'au moins un tireur muni d'une arme longue, qui a ouvert le feu sur un groupe d'une dizaine de personnes rassemblées sur la place à cette heure de la soirée. Quelques minutes après les faits, une vidéo montrant un homme vêtu de noir regagnant un véhicule avait été interceptée sur les réseaux sociaux. La suite des investigations a conduit à l'interpellation, le mercredi 16 juillet, de deux individus dans le département de l'Hérault. Placés en garde à vue sous le régime dérogatoire de 96 heures applicable à la criminalité organisée, ils ont été déférés ce dimanche devant le parquet de Nîmes puis présentés à un magistrat instructeur.

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